Lisa Pariente

 

SEEYOUSOON PRÉSENTE EN ACCORD AVEC W LIVE

Avec ses fringues colorées, ses moues théâtrales, son côté sans filtre, son mètre 56 et sa jovialité pétillante, Lisa Pariente a l’apparence de la bonne copine bien dans ses baskets. Une girl next door, une vraie, qui n’a pas besoin d’user de la posture pour renvoyer un capital sympathie immédiat. 

Dès décembre 2019, Lisa commence à se faire remarquer en adaptant en français le hit du moment de Tones and I (Dance Monkey) et atteint plus de 4,9 millions de vues à ce jour. 

En mars 2020, une autre et étrange épidémie se propage sur la toile. Inoffensive, déconneuse et érigée en remède contre la morosité du moment. La vidéo parodique de son Corona Song explose les compteurs jusqu’à cumuler près de 2,5 millions de vues sur YouTube. La Parisienne de vingt-trois ans se prend alors au jeu, poste dans la même dynamique au rythme des confinements, déconfinements, reconfinements, et continue de balancer des adaptations françaises de titres internationaux.  

Les morceaux circulent à grande vitesse. L’un d’eux apparaît même dans une story d’Angèle. La chaîne W9 la repère et lui confie une capsule chaque samedi matin dans L’hebdo de la  musique, émission présentée par Erika Moulet. Lisa Pariente se forge un nom. 

Épaulée par le producteur et compositeur Moon Boy, qui lui concocte des productions  toniques, accrocheuses et lumineuses, elle carbure à l’humeur, parle avec son temps, capte  l’époque. Des chansons générationnelles et dans lesquelles elle redéfinit les codes amoureux. Paroles vengeresses de rupture, pop contagieuse et chipie, refrain fédérateur en anglais, son « 1,2,3 » est un titre feel-good à l’impertinente allégresse. Tout comme « Garce » son  deuxième single. 

Il y a chez elle du Lily Allen pour l’approche vacharde, du Angèle pour les préoccupations des jeunes de son âge, du Lizzo pour l’affirmation décomplexée. Pas de féminisme revendiqué ni d’introspection, juste de l’acuité et une fraîcheur incisive. Elle déballe les secrets des filles, leurs bassesses, les techniques de drague (Tes textos), les fantasmes démesurés (Par hasard). Large d’esprit, pleine d’autodérision et de lucidité implacable, Lisa Pariente ne manque pas d’air.

Artiste :

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  • Lisa Pariente
    Lisa Pariente

    Avec ses fringues colorées, ses moues théâtrales, son côté sans filtre, son mètre 56 et sa jovialité pétaradante, Lisa Pariente a l’apparence de la bonne copine bien dans ses baskets. Une girl next door, une vraie, qui n’a pas besoin d’user de la posture pour renvoyer un capital sympathie immédiat.
    Dès décembre 2019, Lisa commence à se faire remarquer en adaptant en français le hit du moment de Tones and I (Dance Monkey) et atteint plus de 4,9 millions de vues à ce jour.
    En mars 2020, une autre étrange épidémie se propage sur la toile. Inoffensive, déconneuse et érigée en remède contre la morosité du moment. « On va crever/On a plus à tiser/Je veux être bourrée/Moi j’voulais jouer/Avec le voisin d’à côté/Comme l’Italie le fait… ». Sur une mélodie de Sia (Chandelier), la vidéo parodique de son Corona Song explose les compteurs jusqu’à cumuler près de 2,5 millions de vues sur YouTube. La Parisienne de vingt-trois ans se prend alors au jeu, poste dans la même dynamique au rythme des confinements, déconfinements,reconfinements, et continue de balancer des adaptations françaises de titres internationaux.
    Les morceaux circulent à grande vitesse. L’un d’eux apparaît même dans une story d’Angèle. La chaîne W9 la repère et lui confie une capsule chaque samedi matin dans L’hebdo de la musique, émission présentée par Erika Moulet. Lisa Pariente se forge un nom.
    Belle revanche pour celle longtemps complexée par sa petite taille, malmenée dans les cours de récréation et victime de harcèlement scolaire. Trop apeurée par le regard et le jugement d’autrui, elle fait de la chanson une discipline de chambre. Le père, son plus fidèle supporter, croit en son potentiel, l’incite dès le bac en poche à ne se consacrer qu’essentiellement à la musique. Elle crée sa chaîne YouTube mais poursuit des études de diététique. Lisa Pariente, qui voue une admiration totale à Billie Eilish et Charlotte Cardin, n’a désormais plus de problèmes d’estime de soi. Sa verve et son caractère enfoncent des portes. Du souffle, de l’envie, une voix puissante et slalomeuse.
    Épaulée par le producteur et compositeur Moon Boy, qui lui concocte des productions toniques, accrocheuses et lumineuses, elle carbure à l’humeur, parle avec son temps, capte l’époque. Des chansons générationnelles et dans lesquelles elle redéfinit les codes amoureux. « Y’a plus de grèves, tu peux rentrer chez toi/J’ai marché sur un truc, j’crois que c’était ton chat/Tes yeux puent le whisky/Ton haleine en larmes/Ça pique pas, c’est juste 100 grammes de piments/T’as un morceau de salade entre les dents… ». Paroles vengeresses de rupture, pop contagieuse et chipie, refrain fédérateur en anglais, son 1,2,3 est un titre feel-good à l’impertinente allégresse. Tout comme « Garce » son deuxième single.
    Il y a chez elle du Lily Allen pour l’approche vacharde, du Angèle pour les préoccupations des jeunes de son âge, du Lizzo pour l’affirmation décomplexée. Pas de féminisme revendiqué ni d’introspection, juste de l’acuité et une fraîcheur incisive. Elle déballe les secrets des filles, leurs bassesses, les techniques de drague (Tes textos), les fantasmes démesurés (Par hasard). Large d’esprit, pleine d’autodérision et de lucidité implacables, Lisa Pariente ne manque pas d’airs.

Genre :

Date de l'événement :

03 Oct 2025

Ouverture des portes :

19h00

Tarif prévente (à partir de) :

25 €

Lieu de l'événement :

Lieu

La Maison Bleue | Strasbourg
3 rue de Guebwiller
Site Web
https://www.lamaisonbleue-stbg.com/